Souvenez-vous, un des premiers endroits de Pigalle que je vous montrais était le Sans-Souci. Rendu célèbre par Joseph Kessel dans le roman « La Passante du Sans-Souci » en 1936, l’établissement existe encore aujourd’hui au coin de la rue Pigalle et de Douai. A cause de la pandémie, celui-ci était fermé au moment où je faisais mes premières photos de Pigalle.
Aujourd’hui que la situation sanitaire commence à se détendre, je suis retourné au Sans-Souci.

Le Sans-Souci, 65 rue Pigalle
Entré à l’intérieur de la salle de café, je demande si je peux faire quelques photos. J’explique pourquoi et raconte deux ou trois histoires de truands à la jeune serveuse. Mes histoires l’intriguent. Promis, elle les lira sur mon blog. Et consent volontiers à ma demande.
Quand je demande à mon aimable interlocutrice où se trouve la trace du coup de crosse laissée par Jacques Mesrine, elle me sourit et me répond que oui, elle en a entendu parler mais que non, elle ne sait pas trop où c’est.
Il me faudra donc revenir et demander au patron…
En attendant la suite des chroniques du Rififi à Pigalle, je vous souhaite une belle journée !
I love you. All of you. And Lulu.