Cher monsieur Fuji Films,
J’ai bien reçu le X100F que vous me prêtez pour mon voyage de l’autre coté de la planète. Arrivé à Phnom Penh, capitale du Cambodge, je me suis dépêché de le sortir de mon sac et n’ai eu qu’une seule hâte : prendre une ou deux photos.

Les artères de la ville sont encore boueuses de la saison des pluies qui touche à sa fin. Les scooters se faufilent entre les camions et les voitures – dont notre taxi – et c’est une véritable chorégraphie qui se déroule sous mes yeux.
Nous avons repéré cette gamine endormie dans les bras de son père, occupé à la tenir tout en avançant son engin avec habileté. Je n’ai eu que le temps de viser et de déclencher. Sacré appareil, monsieur Fuji Films, sacré appareil… Je sens que lui et moi, nous allons démarrer une belle collaboration. Ce qui, je pense, ne fera peut-être pas plaisir à mon fidèle Canon 6D. Ce n’est pas grave, il s’habituera.
Monsieur Fuji Films, veuillez croire en mon amitié cambodgienne. A bientôt.
Une réflexion sur “Merci, monsieur Fuji Films !”