Le nouveau Lightroom mobile est arrivé 

Lightroom d’Adobe est le pilier de mon workflow quotidien. Sans lui, je serais bien embêté. Quoique c ‘est un autre mot qui me vient à l’esprit. J’ai gardé embêté parce que c’est plus poli.

Il classe, gère et traite tous mes fichiers photographiques. Aujourd’hui, j’aurais beaucoup de mal à m’en passer même si le programme est gourmand en ressources. Lightroom est l’antichambre de Photoshop qui est l’autre pilier de mon travail. Surtout quand je prépare un Myself.

Pour ceux que ça interesse, je recommande l’excellent blog de Gilles Théophile, Utiliser Lightroom, qui aide sur beaucoup de points de nombreux photographes amateurs ou pro.

Evidemment, je suis abonné à la formule photographe proposée par Adobe. Dans cette formule, un outil est inclus qui est loin d’être un gadget : Lightroom mobile. Une toute nouvelle version est proposée et j’avais envie de vous en toucher deux mots. De toutes manières, je fais ce que je veux, c’est mon blog…

Je ne vais pas embêter le lecteur par une visite détaillée et technique de l’application. Mais juste montrer ce qu’elle sait faire. J’ai toujours admiré les journalistes techniques qui pondent un papier sur un objectif, ou un boitier, ou un logiciel, ou ce que vous voulez, avec tous les détails techniques possibles et inimaginables. Honnêtement, c’est ch… mais par respect pour le boulot, je m’efforce d’aller jsuqu’au bout de l’étude technique. Je n’en ressors pas forcément indemne…

Je suis dans une salle de spectacle, la chapelle des Lombards, pour ne pas la citer. Les conditions ne sont pas idéales : ça crache du blanc, il y a du sombre un peu partout, les rouges dégueulent sur les jaunes criards. Pas le pied.

Certes, je n’ai qu’un Iphone 7. Sa particularité, comme je l’ai déjà expliqué, est de shooter – Enfin ! – en DNG, format RAW universalisé par Adobe. Le capteur est sensible. La nouvelle version de Lightroom Mobile permet le HDR. Allez, soyons fous, je tente.

Je sors le Iphone, je vise et je déclenche. Ca donne ça :

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Les chiffres EXIF donnés par Lightroom : 1/230ème, F/1.8, ISO 20. Je les trouve étranges…

On voit bien que la saturation est comme une pâte d’amande : trop écoeurante rapidement. Il y a du travail de retouche à prévoir.

Première – et bonne ? – surprise : la photo se synchronise avec le cloud Adobe et non celui d’Apple. En d’autres termes, elle n’apparaît pas sur la pellicule de l’Iphone. Au contraire, elle va apparaître en quelques instants – selon la qualité de la connexion – sur l’ordinateur de la maison.

Il est temps de commencer les retouches de base : corriger la balance des blancs, changer légèrement la teinte, amener du contraste et baisser les hautes lumières. Rien de trancendant. La base, le classique, le manuel des Castors Juniors.

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Quelques retouches plus tard…

C’est davantage fidèle à la réalité. Bien sûr, on peut ne pas apprécier la photo. Mon propos n’est pas tant dans la qualité artistique de ce cliché mais bien la facilité de retoucher ce dernier. Comme de bien entendu, les modifications faites sur le mobile sont synchronisées sur l’ordi. Il est donc possible de peaufiner la photo plus tard sur son Lightroom Desktop.

La nouvelle version de Lightroom amène plus de possibilités de synchronisation et de réglages entre la machine mobile, son utilisateur et l’ordinateur principal. Il ne me reste plus qu’à tester cette configuration avec un Ipad Pro, connecté à mon boitier pro et mon ordinateur de maison. Un article qu’il me faudra écrire mais là, ça va carrément être impossible. Au moment où j’écris ces lignes, nous sommes dimanche. C’est le jour du Seigneur, c’est sacré, et donc, je me repose.

Ok ?

I love you. All of you. And Lulu.

 

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